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Discours politiques, avis de psychologues ou d’experts divers fleurissent un peu partout dans les médias aujourd’hui. Il faut faire plus, lui permettre d’avancer, de ne plus se soumettre… Bla bla bla. La cause est juste, bien sûr, mais les propos trop répétitifs. Comme un disque rayé.
Nul doute, chères lectrices de Fifty & me, que vous préférez certainement profiter de ce dimanche dédié aux droits des femmes pour défendre celui de faire la fête, de chanter et de danser. Un droit que vous avez, mais qui est encore refusé aux femmes de nombreux pays dans le monde. Alors, en leur hommage, chantez maintenant.
Notre top 5
- Woman. Impossible de passer outre ce titre de John Lennon. Un hit indémodable qui dépasse, et de loin, l’amour porté par Lennon à sa femme Yoko pour devenir un étendard universel.
- Woman. Un immense tube de Neneh Chery extrait de l’album Man, véritable claque donnée à James Brown et son It’s a Man’s Man’s Man’s World (loin d’être à jeter par ailleurs, ndla). Dans cette chanson de révolte, la chanteuse engagée, version post-punk, célèbre les droits des femmes à se battre pour trouver leur place dans cette société.
- Goodbye Marylou. Un classique de la discographie de Michel Polnareff. Indémodable dans sa vision de l’amour façon Internet. Ecrite à l’époque du minitel, elle reste plus que jamais d’actualité. Et toujours aussi émouvante.
- La vie en rose, version Grace Jones. Douze minutes de pur bonheur mais qui n’effacent pas la version originale chantée par Edith Piaf. Probablement la chanson d’amour la plus célèbre de la chanson française, écrite en 1945.
- Porque te vas (parce que tu pars). Une chanson d’amour de 1974 aussi douce que les traits de son interprète espagnole Jeanette. La chanson sera celle choisie pour le générique du film de Carlos Saura Cria cuervos (1976).