Partir sans laisser de « mauvaises » traces
Aujourd’hui, nous avons une idée plus claire de l’empreinte environnementale produite au cours de notre existence. Mais qu’en est-il de celle que nous laissons en quittant ce bas monde ? S’il est encore difficile de trouver des cercueils biodégradables (construits en fibres naturelles, en carton, en bambou, en osier ou en papier mâché), il existe de plus en plus d’alternatives durables et plus respectueuses de l’environnement. En Belgique, certaines pompes funèbres privilégient autant que possible une filière courte, l’artisanat, et des matériaux moins polluants. Pour respecter cette philosophie, il est aussi possible de choisir une gamme de linceuls, urnes et cercueils fabriqués localement et/ou dans une filière maîtrisée d’approvisionnement en matériaux écologiques.
Enfin, sachez que la crémation a un meilleur bilan carbone. Mais vous pouvez rendre un enterrement davantage « écolo » en choisissant un cimetière à l’ aménagement paysager 100 % naturel et/ou qui n’utilise aucun produit chimique pour l’entretien de son site. Vous pouvez même aller jusqu’ à choisir un lieu de sépulture proche de ceux que vous aimez pour diminuer la consommation d’énergie fossiles lors des visites…