Diane Von Furstenberg : « La femme que j’ai voulu être »

Reading Time: 2 minutes

Avec franchise et tendresse, Diane Von Furstenberg encourage toutes les femmes à devenir celles qu’elles veulent être au travers de son autobiographie qui se lit comme un roman…

« Je suis née à Bruxelles. À 22 ans, je suis partie en Amérique avec deux valises pleines de petites robes en jersey que j’avais créées dans l’usine d’un ami industriel, en Italie. Jeune mariée au prince Egon von und zu Furstenberg, enceinte, j’ai débarqué à New York, pleine d’attentes et d’espoirs. Mes robes ont connu un énorme succès et j’ai très vite vécu mon american dream. Au début de ma vie, je n’étais pas sûre de ce que je voulais faire, mais je savais quel genre de femme je voulais être… », raconte Diane Von Furstenberg.

Créatrice de la mythique Wrap Dress en 1974, cette fameuse robe portefeuille toute simple devenue un symbole d’émancipation pour plusieurs générations de femmes, Diane Von Furstenberg milite pour l’empowerment des femmes, à travers les DVF Awards (remis par Hillary Clinton) et sa fondation Vital Voices.

Elle soutient de nombreux projets philanthropiques grâce à la fondation Diller – Von Furstenberg qu’elle dirige. Sa marque, DVF, est aujourd’hui présente dans plus de 55 pays. Un succès et un talent qui lui vaut de présider  le syndicat de la mode aux  États-Unis.

Son livre révèle une vie et une carrière hors du commun, et rend un bouleversant hommage à sa mère, Lily Nahmias, rescapée des camps de la mort.

life-magazine

« La Femme que j’ai voulu être » de Diane Von Furstenberg paru chez Flammarion est en vente au prix de 20€ dans toutes les boutiques DVF. (A Bruxelles: 11 rue du Grand Cerf – A Knokke: 349 Kustlaan) 


© Fiftyandme 2024