55 ans

Les plus de 55 ans plus heureux que les jeunes, selon une étude

Dans le concert de mauvaises nouvelles qui nous accompagne, des éclaircies se font jour. Comme cette étude réalisée par Zespri et qui dresse un portrait plutôt flatteur de la santé des quinquagénaires.

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Comme une claque adressée à l’encontre du jeunisme ambiant. Une étude* nationale réalisée auprès de 2000 quinquagénaires belges par la marque Zespri Kiwifruit en collaboration avec le bureau d’études iVox démontre que les plus de 55 ans se sentent mieux dans leur corps que les plus jeunes. Des résultats à nuancer quelque peu, mais qui apportent un peu de peps bienvenu.

Que nous enseigne l’étude ?

Comment allez-vous ? Une question posée par Zespri et iVox qui amène des réponses positives au sein des 2000 quinquas de plus de 55 ans sondés. Plus de 64 % d’entre eux se sentent bien dans leur peau et 65% se disent même heureux. Des pourcentages qui peuvent sembler faibles à première vue mais pourtant bien supérieurs à ceux relatifs aux classes d’âges plus jeunes. Soit respectivement 51 et 58% pour les 35 à 54 ans et seulement 48 et 55% pour les moins de 34 ans. « Ce groupe d’âge (les + de 55 ans) obtient des scores plus élevés que les autres pour les principaux facteurs de bonheur général » souligne Kirsten Pint, Marketing Manager Benelux chez Zespri. Comment ne pas s’en réjouir ?

Une alimentation à corriger

Une étude qui souligne aussi certaines mauvaises habitudes à corriger par les quinquagénaires. Plus de 8 sondés sur 10 avouent vouloir manger plus sainement. L’étude souligne pourtant que 71% des plus de 55 ans consomment quotidiennement des fruits et des légumes. Le souci réside surtout dans le petit-déjeuner, sauté par 20 % des plus de 55 ans. Le plus mauvais pourcentage de la journée, à comparer aux 83% et 89% des sondés qui reconnaissent manger, respectivement , au déjeuner et au dîner.

Trop peu de sport et d’activités en extérieur

Si le moral et la résilience se montrent supérieurs à la moyenne, l’étude souligne qu’il n’en va pas de même quant au sport. Par manque de temps, avec une vie de famille et une carrière bien remplies ? Selon l’étude, 13% des sondés ne feraient pas de sport du tout, tandis que la moitié avouerait volontiers une carence en exercices physiques. Avec des raisons aussi diverses que le mauvais temps (39%), le manque d’énergie (26%) ou l’absence de partenaire (pour 23%). Un manque d’exercices physiques qui s’accompagne aussi d’une carence en sorties extérieures ( 64% des sondés avouent consacrer au moins une heure en extérieur par jour).

Notes : une *étude en ligne réalisée par le bureau d’études iVox entre le 21 et le 30 décembre 2021 auprès de 2000 Belges, représentatifs en termes de sexe, province, âge et diplôme.

Pour qui souhaite calculer sa vitalité, la marque Zespri a développé un nouveau site en ligne où chacun peut calculer son indice de vitalité, pour se situer dans les résultats diffusés.


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