La ménopause et ses dérèglements hormonaux. Si ses multiples symptômes sont connus, le risque inhérent au développement de mauvais cholestérol l’est nettement moins. Une menace, certes, mais des solutions existent pour réduire le mauvais cholestérol (LDL) au profit du bon (HDL). Une thématique loin d’être marginale. Selon les données officielles, quelque 20% de la population seraient ainsi concernés par l’excès de cholestérol.
Quels sont les facteurs de risque du cholestérol ?
De l’obésité et un surpoids, une alimentation trop peu équilibrée, le tabagisme, de l’alcool, mais aussi de l’hypertension, du diabète, l’âge ou des antécédents familiaux. Sans oublier la diminution de la production d’œstrogènes à la ménopause, des hormones bénéfiques pour la production de bon cholestérol aux effets protecteurs sur la santé cardiovasculaire.
Autant d’éléments susceptibles de procéder à un bilan lipidique régulier pour mesurer les taux de HDL et de LDL. Un dosage effectué idéalement tous les ans après 50 ans, voire plus régulièrement en fonction du bilan de santé. La tranche d’âge des 45/65 ans serait la plus vulnérable aux excès de cholestérol.
Les symptômes sont les signes de complications
Il n’existe pas de signaux d’alerte caractéristiques d’un taux de cholestérol trop élevé. Des extrémités froides, des vertiges, des palpitations, une sensation d’oppression dans la poitrine mais également des vertiges ou de l’essoufflement ? Autant de symptômes qui témoignent de complications à traiter rapidement. Dans la durée, la formation de plaques d’athérome dans les artères peut mener à de l’insuffisance rénale mais aussi au risque d’infarctus ou d’AVC.
Quelles solutions adopter pour gérer le cholestérol ?
Une première action préventive consiste à privilégier une alimentation équilibrée riche en fibres et en produits frais et à supprimer les produits transformés riches en mauvaises graisses et en sel. Maintenir une activité physique régulière et un poids de forme permet aussi de réduire le taux de mauvais cholestérol et de stimuler la production de HDL.
Cette meilleure hygiène de vie peut s’accompagner de la prise de certains traitements prescrits par le médecin pour maîtriser son taux de cholestérol. Cela peut être la prise d’un traitement à base de médicaments hypolipémiants ou de statines pour bloquer la production de mauvais cholestérol. Des statines dont certains effets secondaires (douleurs musculaires, maux de tête…) impliquent parfois leur remplacement par des alternatives.
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Les acides gras oméga-3, sous leurs formes actives EPA et DHA, sont des nutriments essentiels que le corps ne produit pas naturellement. Nous devons les puisez dans notre alimentation, principalement dans les poissons gras. Une consommation journalière d’au moins 250 mg d’EPA et de DHA contribue à une fonction cardiaque normale. Un niveau que la plupart d’entre nous n’atteint pas. Or les oméga-3 sont particulièrement importants en période de ménopause, où la baisse d’œstrogènes favorise le mauvais cholestérol (LDL).
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Sources :
- (1) fondation-recherche-cardio-vasculaire.org/le-cholesterol-le-definir-pour-le-comprendre
- (2) heart.org/en/news/2023/08/25/heres-the-latest-on-dietary-cholesterol-and-how-it-fits-in-with-a-healthy-diet
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