C’est en 1974 que Diane von Furstenberg lance l’emblématique « wrap dress », une robe portefeuille qui se croise à l’avant ou sur le côté avec une ceinture en tissu. En jersey imprimé léopard qui flatte les mouvements, elle a le don d’être super pratique à entretenir, à mettre et à enlever, tout en étant ultra féminine ! Cette pièce – révolutionnaire par sa simplicité – rencontre un succès fulgurant : en 1975, elle se vend à 15.000 exemplaires par semaine et fait son entrée dans le Livre Guinness des records ! Aujourd’hui, la « wrap dress » trône même dans la collection permanente du MOMA, parmi une centaine de créations qui ont marqué les XXe et XXIe siècles.
La (re)naissance d’une mode
Après un hiatus de 20 ans, Diane von Furstenberg réédite la légendaire « wrap dress » en 1997. Inspirée par les œuvres d’Helmut Newton, Annie Leibovitz ou encore Andy Warhol, elle se réinvente à chaque défilé au fil d’imprimés graphiques ou sixties. Sans conteste, le charme intemporel de la « wrap dress » s’inscrit dans son minimalisme : exempte de fioritures et autres boutons ou fermeture éclair superflus, elle est de ces robes dans laquelle on saute les yeux fermés pour se sentir féminine.
Dessinée tout spécialement pour les femmes modernes, qui savent ce qu’elles veulent et ce qu’elles valent, la « wrap dress » est aussi versatile à ce jour qu’elle l’était dans les années septante… Disponible en un clic dans une infinie palette de couleurs, de tissus, de coupes et de styles, elle traverse les âges sans prendre une ride. Un must have !
