La vie en rose

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Fondée en 1935 par Armand Petitjean, un visionnaire, la maison Lancôme a d’emblée combiné parfums, soins et maquillage, imposant l’image d’une marque à l’élégance parisienne, entre sophistication et spontanéité naturelle.

Par Lise Leroy

Présente dans 130 pays, elle a fait du bonheur son message personnel aux femmes parce qu’il est la forme la plus évidente de beauté. Ton sur ton avec sa rose emblématique, Lancôme persiste et signe pour sa collection de Noël (dès le 15/10 en parfumerie) avec un mantra plus qu’à propos : « Pink is the new happy ». Le rose, c’est la féminité joyeuse, épanouie, audacieuse que Lisa Eldridge, la directrice artistique, exprime dans des fards délicats, souriants et miroitants.

Make-up artiste nationale de Lancôme en Belgique, Suanna Bahimllari explique : « Beaucoup de palettes de Noël ne sont pas utilisables le reste de l’année. Entre prune, dorés rosés et beiges, celle-ci demeure facile à porter à tout moment et convient à toutes les carnations. Les couleurs sont chaudes avec une petite touche de froid. En ce moment chez Lancôme, on travaille la transparence et la lumière en priorité. Pour une femme qui prend le temps de se maquiller mais qui veut que le résultat soit subtil, naturel. C’est pourquoi les rosés sont des tonalités que nous aimons : elles sont synonymes de fraîcheur. Notre directrice artistique, Lisa Eldridge, injecte des touches de fun aux gammes traditionnelles de coloris. Mais ce peps reste approprié au quotidien. »

Cet automne, la marque redéploie sa technologie originale venue d’Asie, celle des ‘cushions’. Grâce à une éponge imbibée dans un boîtier nomade, on peut utiliser du fond de teint liquide (Teint Idole Ultra Cushion) à tout moment de la journée, pour un effet couvrant avec un coup de frais hydratant en prime. Idem pour les blushes ‘cushion’ qui donnent bonne mine sans effet poudré. Enfin, un Cushion Highlighter voit le jour dans la collection de Noël. Objectif : illuminer les parties bombées du visage avec un halo subtilement irisé en rien brillant, comme le veut la tendance du strobing. « On le pose en tapotant sur le haut des joues, sous les arcades, sur l’arc de cupidon et l’arête du nez. » L’allié parfait des sombres et longues soirées de cet automne-hiver.


Article publié dans le Psychologies Magazine


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