Les bougies malgaches de Baobab

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Baobab Collection opère un retour aux sources et met le cap sur l’île de Madagascar, là où se dressent les plus beaux baobabs, clin d’œil à la marque.

Le raphia, issu d’une race de palmiers que l’on trouve au nord-ouest de l’île, a été récolté, trié, séché puis teinté de pigments par une coopérative locale qui emploie des hommes et des femmes des quartiers populaires de Madagascar. Ensuite, la fibre naturelle a été tissée à la main par les artisans afin de faire apparaître différents motifs géométriques. Un travail artisanal, immortalisé par le photographe belge Serge Anton, qui a contribué au développement économique équitable de ce beau pays. Résultat ? Le M Project : cinq éditions limitées, baptisées d’un nom malgache et habillées d’un contenant unique, qui sentent bon les vacances.

Life Magazine

(1) Hommage. Serge Anton a baladé son objectif dans les ateliers, dans la rue mais aussi sur les terres pour capturer les splendides baobabs.

(2) La main de l’artisan. Il a fallu plusieurs heures de travail pour crocheter le raphia, brin par brin, à la main, avant de le monter par rangs.

(3) Savoir-faire ancestral. Dans les communautés malgaches, l’art du tissage du raphia se transmet de génération en génération.

(4) L’île rouge. La bougie “Mena” (rouge en Malgache) mixe motifs tribaux et parfum de menthe, de vétiver et de ylang-ylang. 410 € la Maxi Max.

www.baobabcollection.com


 Article paru dans le Elle Décoration n°245


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