Springtime !
En anglais, spring, c’est le printemps mais aussi le saut, la source… Faire jaillir sa source profonde, quel joli message du printemps ! Faire fleurir la poésie pour que notre monde se relie à sa vérité profonde. Raconter nos histoires en images et en mots pour revisiter notre vie autrement. C’est toute la magie du travail des Filles du Baobab qui proposent des cartes photo-langage, créations métaphoriques et formations aux pratiques narratives à l’attention de tous les explorateurs de la relation. Compétence et bienveillance des animatrices au rendez-vous.
A découvrir sur www.lesfillesdubaobab.com
Le jaune vous va si bien !
Les fleurs se mettent au diapason du soleil pour le séduire et le convier à rester. Nous aussi ! Quittons nos couleurs sombres. Habillons-nous – intérieur et extérieur – de lumière. C’est le moment de renouer avec notre intériorité. Méditer devant une simple bougie et au rythme de sa respiration, puis écouter les inspirations qui ne manqueront pas de surgir…
De l’air !
Votre reflet fait grise mine ? Dame Nature vous attend ! C’est le moment de batifoler dans la nature pour y capter les signes de renouveau. Les bourgeons, les oiseaux qui chantent à tue-tête, l’air qui se fait plus doux, la lumière qui se faufile entre les nuages… Mettre toute notre attention sur ces signes printaniers et en devenir les vivants reflets pour en ressentir les bienfaits.
… et enfin, soyons pissenlit
Une mauvaise herbe, le pissenlit ? Au lieu de le maudire, aimons-le ! Il est source de bienfaits, puisqu’on le mange en salade – les feuilles sont un excellent dépuratif du foie – et les fleurs, moins amères, décorent joliment vos plats ; en tisane diurétique – eh oui, pisse-en-lit n’est pas un mythe ! – ou en confiture – mmmm, la délicieuse cramaillotte ! Mais symboliquement, saluons son message solaire. Il célèbre le retour du soleil par sa ressemblance, couleur jaune et pétales en rayons… Et puis, quelle résistance et quelle volonté ! Il pousse n’importe où même dans la moindre anfractuosité, et une fois qu’il s’installe, difficile de l’en déloger, tant ses racines sont profondes. Vous en savez quelque chose ? Quant aux aigrettes, après floraison, elles se « sèment à tout vent » ! Ne pourraient-elles être le symbole de la maturité agissante et partageante des femmes mûres et épanouies. Tout nous, quoi !
