Avec un quotidien souvent anxiogène, un peu de tendresse partagée entre partenaires n’est pas un luxe superflu. Pourquoi ne pas tester et adopter la position de la cuillère ou spooning ? Un rapport intime caractérisé par la douceur et la complicité coquine.
Le spooning expliqué
Connue sur les réseaux sociaux sous l’anglicisme de spooning, la position de la cuillère figure parmi les positions sexuelles les plus populaires du soft sex. La 99e position du Kamasutra est parfaite pour satisfaire toutes les classes d’âges. Une position dont la dénomination se réfère à ces petites cuillères rangées dans la ménagère, imbriquées les unes dans les autres. Concrètement, les partenaires se placent sur le côté, la femme devant l’homme. Une position agréable qui facilite le rapport intime, rythmé par les bassins. Elle permet aussi à la femme de se masturber en même temps, pour stimuler tout à la fois le désir et le clitoris. La partenaire n’est donc pas passive et peut tourner le visage vers son partenaire pour augmenter l’excitation.
Pour la petite parenthèse, la position n’est pas réservée aux couples hétéros. La pénétration peut être vaginale ou anale. Voire absente quand la position est utilisée pour trouver le sommeil ensemble.
La tendresse au paroxysme
Une position idéale pour entretenir la flamme au sein du couple. Ce romantisme souvent absent dans bon nombre de positions, plus axées sur la performance et la recherche de l’orgasme à tout prix. Rien de tout cela avec le spooning. L’important est de se sentir bien avec l’autre. La partenaire, placée devant, profite des bras rassurants de son partenaire placés autour d’elle. Pour ressentir cette impression sexy de peau contre peau. Et sentir le souffre de l’homme sur sa nuque, comme une petite touche érotique de plus. L’homme placé à portée des oreilles peut aussi susurrer des mots tendres pendant l’acte.
Ces bienfaits qui expliquent le succès de la position
Pour les couples qui ne l’ont pas encore adoptée, le déroulé de ses avantages suffira à les convaincre. Avec, en premier lieu, cette absence d’efforts physiques nécessaires ou de contorsions pas toujours agréables à la cinquantaine. Cette proximité des corps, comme fusionnés, permet d’atteindre aisément toutes les zones érogènes et de les caresser lors de la pénétration. Plus aisée et plus longue de par l’absence de fatigue du partenaire. Comme la recherche de la performance n’est pas de mise, la relation peut être prolongée et l’homme peut retarder sa jouissance pour se coordonner avec sa partenaire. Une position à adopter aussi comme conclusion après un rapport. Les deux partenaires s’enlacent pour vivre pleinement cette intimité post-coïtale, trop souvent négligée. Et pourtant tout aussi importante que les préliminaires. Une position qu’il est possible de pimenter selon les désirs communs. Avec des petites morsures, des fessées, des cheveux tirés…
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