Les parcours
A ses débuts, le Venice Simplon-Orient-Express n’effectuait que le trajet Londres-Venise et retour, en passant par Calais, Paris et la Suisse ou l’Autriche. Au fil des années, de nouveaux itinéraires se sont ajoutés à l’offre. Il est ainsi possible de rallier Istanbul depuis Paris, un voyage de six jours ponctué de deux nuits passées dans des palaces à Budapest et Bucarest, et, depuis peu, Berlin en suivant une partie des méandres formés par le Rhin.
Peu importe l’itinéraire choisi et le nombre de nuits, l’expérience culinaire proposée n’a rien à envier aux meilleurs restaurants de la planète. Le chef Christian Bodiguel, qui collabore avec les meilleurs fournisseurs parisiens mais également avec quelques maraîchers sélectionnés le long du parcours, propose une cuisine raffinée, superbement mise en scène par son équipe dans une vaisselle auréolée du monogramme VSOE reproduit en lettres d’or sur chaque pièce du service. Le bar pour sa part, demeure accessible jusqu’à ce que le dernier convive ait quitté les lieux. Les cocktails élaborés par Walter Nisi peuvent donc se siroter jusqu’au bout de la nuit, accompagnés de spécialités au caviar Petrossian. Pour celles et ceux qui préfèrent les bulles, le wagon-restaurant Côte d’Azur vient d’inaugurer un bar à champagne où le cristal étincelant des flûtes côtoie les innombrables jeux de lumières provoqués par les vitraux de René Lalique.
Infos : www.belmond.com
Envie d’en savoir plus? Un ouvrage richement illustré, « Orient Express, de l’histoire à la légende » de Guillaume Picon, vient de paraître aux éditions Albin Michel.