Testament : offrir un monde meilleur aux enfants

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Sans héritiers légaux, le patrimoine dont on dispose à la fin de sa vie arrive dans les caisses de l’État. Pourquoi pas, dès lors, choisir en âme et conscience de tirer sa révérence sur un ultime geste de générosité ? De contribuer à ensoleiller l’avenir d’enfants qui en ont besoin ? C’est ce que propose l’Unicef.

Un testament, c’est une façon de continuer à porter les valeurs qui ont toujours compté pour nous de notre vivant. En aidant sa famille et tous les êtres chers qui nous survivent, mais aussi, pourquoi pas, en soutenant une bonne oeuvre comme l’Unicef, qui vient en aide aux enfants du monde et donc participe activement à construire un avenir meilleur. La santé est le domaine d’action privilégié de l’Unicef, parce que des enfants en bonne santé deviendront des adultes en bonne santé, aptes à améliorer leurs conditions de vie, celles de leur communauté et celles de leur pays. Ainsi, 2 millions d’enfants de moins de 15 ans vivent avec le VIH/SIDA, infectés dans 90% des cas par leur mère. Corollaire à la santé, l’accès aisé à l’eau potable et à des sanitaires, donc à l’hygiène, représente un autre axe d’action de l’organisation. L’Unicef oeuvre aussi en faveur d’une meilleure nutrition, éducation (57 millions d’enfants n’ont pas accès à l’école primaire, dont une majorité de filles), sécurité et inclusion sociale des chères têtes brunes et blondes.

On peut faire de l’Unicef son légataire universel ou lui léguer une somme précise, un pourcentage de ses biens, quelle qu’en soit la forme : argent liquide, titres, placements, fonds de pension, capitaux provenant d’assurances (vie), bijoux, œuvres d’art, biens mobiliers ou immobiliers – en propriété ou en usufruit. Et ce via un testament, garantie légale du fait que nos dernières volontés seront respectées.

Le plus simple est de rédiger son testament avec son notaire (testament notarié ou authentique : www.noraire.be) ou alors de le lui transmettre après l’avoir écrit, en présence de deux témoins (testament international). On peut encore rédiger son testament seul (testament olographe), mais on doit alors l’écrire de sa propre main, le dater et le signer. La date est indispensable, pour prouver par la suite qu’on avait la capacité d’écrire ce testament à ce moment-là. Pour pouvoir rédiger son testament, il faut, en effet, être sain d’esprit et ne pas avoir été déclaré incapable d’un point de vue légal. Un testament olographe est évidemment la solution la moins coûteuse mais aussi la plus risquée puisque le document peut être perdu ou atterrir entre de mauvaises mains.

Si vous souhaitez des renseignements précis et confidentiels contactez M. Michel Lorge au 02/230.59.70 ou par email mlorge@unicef.be

www.unicef.be 


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