Le Dyson Airwrap, une technologie qui change la donne
L’Airwrap n’est pas un simple sèche-cheveux. C’est un outil de coiffage multi-fonctions haut de gamme, qui sèche, lisse, ondule et donne du volume grâce à un phénomène physique : l’effet Coandă. En clair, un flux d’air puissant mais doux qui aspire littéralement la mèche de cheveux autour du rouleau, la sculpte en une boucle aérienne… sans chaleur extrême.
Et là, on ne peut pas s’empêcher de sourire : voir ses cheveux s’enrouler tout seuls, sans forcer, sans crisper le poignet, provoque un vrai effet « wahou ». C’est simple, fluide, presque magique. Et surtout : ça fonctionne.
Verdict : gadget de luxe ou vrai allié beauté ?
L’Airwrap n’est pas un caprice. C’est un appareil bien pensé, performant, respectueux du cheveu — et surtout bluffant dans sa capacité à coiffer sans effort. Il redonne envie de s’occuper de ses cheveux, sans stress, sans douleur, sans gestes compliqués.
À 50 ans, on cherche moins la perfection que la fluidité, la douceur, la facilité. L’Airwrap répond à cette envie. Et il ajoute, en prime, ce petit frisson de surprise technologique qui nous fait dire : “Ah oui… quand même. C’est incroyable !”
Ce que l’on a aimé
- La prise en main est intuitive. Même si l’objet impressionne à l’ouverture, l’apprentissage est rapide. On comprend vite comment utiliser les différents embouts.
- Un vrai gain de temps. Il sèche et coiffe en un seul geste, ce qui est un bonheur pour celles qui veulent un brushing soigné sans y passer 30 minutes.
- Un résultat souple, volumineux et naturel. Les boucles ne sont pas figées, le volume reste léger, le mouvement est aérien.
- Une vraie protection du cheveu. Même sur des cheveux colorés ou fins, aucune sensation de chaleur excessive, ni de fibre abîmée.
- Et surtout… ce moment d’émerveillement. Quand on tend une mèche et qu’elle s’enroule seule autour du rouleau, sans effort. C’est à la fois étonnant, élégant et incroyablement satisfaisant.
Ce que l’on aime (un peu) moins
- Le prix. Environ 550€, c’est un investissement — mais qui peut remplacer un sèche-cheveux, un lisseur, un fer à boucler et bien des rendez-vous chez le coiffeur. Et qui se partage de mère en fille…
- Une petite courbe d’apprentissage. Les premières fois, il faut tâtonner : choisir le bon embout, comprendre le sens de rotation, doser l’humidité. Mais on progresse très vite.Pour qui est-ce vraiment utile ?
Test croisé mère-fille : deux générations, un même « wahou »
Magali, 50 ans, cheveux fins et colorés :
« J’ai arrêté les brushings depuis des années. Pas assez de temps, trop de chaleur qui assèche mes cheveux… Mais avec l’Airwrap, j’ai retrouvé l’envie de me coiffer. Juste pour le plaisir. Sans grande occasion particulière. Et surtout, mes cheveux sont souples, doux, sans frisottis. Quand j’ai vu la mèche s’enrouler toute seule, on aurait dit une petite fille qui s’extasie devant un Disney ! Ma fille a ri de moi, mais s’est empressée de vouloir l’essayer ! »
Emma-Louise, 17 ans, cheveux très longs :
« Je suivais ses prouesses de près sur Tik Tok, mais là, en vrai, c’est encore mieux. Avec l’Airwrap ID, tout se connecte à l’application Dyson : on choisit son type de cheveux, ses envies, et les réglages se font automatiquement. C’est hyper précis ! Bon, c’est vrai, je dois encore expliquer à maman comment connecter le Bluetooth… mais après, elle adore. »
Un outil intergénérationnel ?
Clairement. Chacune y trouve son usage, son style et son niveau d’implication technologique. La mère pour son brushing rapide sans casse, la fille pour ses boucles soignées au degré près. Et le plus joli ? C’est qu’on se retrouve dans la salle de bain… pour se piquer l’Airwrap.
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© Illustration : Shutterstock