mini-jupe

La mini-jupe, devenue ce symbole d’anticonformisme

Née dans les années 60, la mini-jupe n’a pas quitté la scène. Si les quinquas en gardent toujours de délicieux souvenirs, les jeunes femmes du XXIe siècle la portent toujours. Par plaisir et par bravade face aux esprits étriqués. Et vous, en portiez-vous ?

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Le symbole d’une nouvelle liberté féminine

Si la mémoire de nos années 60 nous ramène à une ère de liberté, elle se révèle parfois faussée par le temps qui passe. Concernant la mode féminine notamment. Très prude à l’époque et peu ouverte aux changements. Quand la mini-jupe fait son apparition en 1964, elle suscite d’emblée l’ire des éléments les plus conservateurs. Une femme avec une jupe qui cache à peine les fesses ? Impossible ! Pour les jeunes filles de l’époque, par contre, son apparition va révolutionner leur garde-robe. Et devenir un symbole de liberté. Les femmes veulent bouger et imiter leurs idoles de la pop, du rock. N’en déplaise aux parents. Voilà comment on voyait la mini-jupe à ses débuts :

Une mini-jupe inventée par la styliste britannique Mary Quant. Adieu jupes longues portées sous le genou. Bonjour les jambes dégagées, montrées sans honte. Une petite pièce de tissu qui sera rapidement popularisée en France par le célèbre couturier André Courrège.

Une mini-jupe intemporelle

Une mini-jupe portée dans les années 60-70 par d’immenses stars du cinéma ou du monde pop-rock. Brigitte Bardot mais aussi Twiggy (autre symbole des sixties), Jane Fonda, Sheila, France Gall, Jane Birkin… et adoptée par des personnalités d’aujourd’hui, comme Taylor Swift, Naomi Watts ou Miley Cyrus.

C’est certain, les quinquas (et plus) habituées aux pantalons et aux tailleurs plus adaptés à la vie professionnelle ne peuvent oublier cet accessoire de mode qui a participé à sa manière à l’émancipation de la femme.

Crédits photo à la une : Getty Images


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