aphrodisiaques

Cinq aphrodisiaques à mettre dans l’assiette

Pour booster sa libido et celle de son/sa partenaire, il peut être utile d’ouvrir la porte du frigo avant celle de la pharmacie. Certains aliments se révèlent aphrodisiaques, même si les études scientifiques divergent.

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À la cinquantaine, le stress, la fatigue ou certains dysfonctionnements sexuels peuvent gripper la libido des couples. S’il existe certains stimulants artificiels bien connus, les aphrodisiaques prodigués par Mère Nature se révèlent à la fois efficaces et plus savoureux en bouche.

Cinq aliments aphrodisiaques

Si pour beaucoup de ces aliments dits aphrodisiaques, les études définitives manquent à l’appel, qu’importe si la légende l’emporte sur la réalité. Tout est dans le ressenti lors de la consommation de ces aliments aux effets positifs pour la femme et l’homme. Mais aphrodisiaques ou pas, il n’y a pas d’aliments miracles pour vous faire grimper aux rideaux.
Le chocolat noir, très riche en cacao. Un délice pour les papilles adopté par les amants. Peut-être parce que le chocolat noir contient de la phényléthylamine ? Cette molécule de l’amour sécrétée lors des rapports sexuels. Le magnésium présent agit quant à lui contre l’éjaculation précoce.
L’ail. Un choix cornélien entre ses effets sur l’haleine et son pouvoir vasodilatateur, garant d’une forte érection. Un condiment qui stimule aussi la tonicité.
L’asperge. L’asperge stimule la production de testostérone et la présence de vitamine E fluidifie la circulation sanguine. Avec comme effets positifs une bonne érection et le relâchement de l’utérus. L’asperge améliorerait aussi la qualité de l’orgasme selon certaines études.
Les tomates. De jolis fruits omniprésents en cuisine, riches en vitamine C, connue pour ses effets vasodilatateurs.
L’huître. Consommée sans modération par Casanova, l’huître et sa façon de la consommer à même la coquille reste l’aphrodisiaque le plus souvent cité. Un coquillage riche en zinc, un oligoélément indispensable à la synthèse de la testostérone, et en dopamine. Ce neurotransmetteur connu comme l’hormone du plaisir.

Les mauvaises habitudes à oublier

Ces produits aphrodisiaques n’auront pas (ou auront moins) d’effet sans une modification de certaines mauvaises habitudes alimentaires. Si l’alcool peut avoir un effet excitant et désinhibant, sa consommation régulière diminue notamment la production de la testostérone, cette hormone produite par les hommes et les femmes (mais en moindre quantité) et responsable du désir sexuel. Cette hormone baisse graduellement après 35 ans, inutile donc d’aggraver la situation. Ciblé aussi, le sucre, présent dans les sodas, bonbons et pâtisseries industrielles. Le sucre consommé en excès diminue la production de testostérone. Les sucreries sont néfastes également par la présence d’édulcorants artificiels (aspartame, sucralose, sorbitol…). Responsables de la diminution de la production de sérotonine, l’hormone du bonheur, et de l’augmentation des troubles de l’humeur, fort peu compatibles avec une sexualité harmonieuse. Enfin, gare à l’excès de café (plus de 3 tasses par jour). La caféine provoque un effet excitant avec la production de l’hormone du stress.

 

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