Les ronflements : un« tue-l’amour » ?
C’est surtout un coupe-sommeil ! Et c’est sans compter les repercussions d’une mauvaise nuit sur notre journée. Fatigue, irritabilité, fringales, coup de blues… La victime n’est généralement pas le ronfleur mais la personne qui partage son lit.
Quelles solutions, à part les boules Quiès ?
Il y a toutes sortes de solutions, parfois plus proches du vaudou que du bon sens. On oublie donc la balle de tennis cousue dans le dos ou l’oignon sous le lit.
Vous pouvez par exemple siffler, méthode classique célébrée par Louis de Funès dans « La Folie des grandeurs ». Mais elle est hasardeuse : Parfois ça marche, parfois pas !
Moins aléatoire, vous pouvez le ou la réveiller ! Si une caresse sur le bras ne suffit pas, il faut le (la) secouer jusqu’au réveil complet. Une fois les yeux écarquillés, il (elle) ne ronflera plus jusqu’à ce qu’il retrouve le sommeil. C’est temporaire, mais efficace.
Notons que les solutions dépendront aussi de la cause des ronflements. En effet, ronfler peut-être révélateur d’une apnée du sommeil. Quelques électrodes suffiront à vous éclairer. Si ce n’est pas lié à un problème de santé, vous pouvez :
- commencer par changer de position. Ne dormez plus sur le dos mais sur le côté (droit idéalement, c’est meilleur pour le cœur !)
- Utiliser un spray à l’eau de mer avant d’aller vous coucher pour déboucher le nez.
- Eviter l’alcool et le tabac.
Enfin, il faut savoir qu’on ne naît pas tous égaux face aux ronflements. Il y a les occasionnels et les réguliers. Les petits et les gros ronfleurs… Le surpoids, d’ailleurs, est un élément déclencheur. Et un petit régime suffit parfois à régler le problème.
Sinon, vous pouvez porter un dilatateur nasal. Ce n’est pas très sexy, mais ça fonctionne assez bien. Et si ça peut vous éviter de faire chambre à part…