Aujourd’hui, l’oiseau de nuit bruxellois Carl de Moncharline nous raconte ses journées confinées … Si l’heure n’est plus à la fête, son esprit jovial est quant à lui toujours au rendez-vous.
Comment vis-tu le confinement ?
J’ai énormément de chance de vivre dans une maison avec jardin, située en belle campagne de Rhode-Saint-Genèse. Du coup, je ne le vis pas trop mal. Mon jardin n’a jamais reçu autant d’attention de ma part ! Il faut dire que mes horaires de nuit à l’Impérial ne me donne pas toujours l’occasion de voir beaucoup la lumière du jour…
Ma femme Virginie, mon enfant Noah et mon petit Shiba Fuji, ne sont pas en reste et ne se plaignent pas non plus de me voir plus souvent. C’est bien entendu valable pour moi également.
Quels sont ses aspects positifs et négatifs ?
Les points positifs : Voir le temps ralentir, profiter des siens, faire de longues promenades, mettre de l’ordre et faire des tâches que nous n’aurions jamais eu le temps de faire sans ce confinement…
Les points négatifs : Ne pas pouvoir voir ses parents, d’autant que mon papa est très malade et en maison de repos. Ne plus voir mes amis, ne pas accompagner certain de mes proches lors d’un décès ou d’évènements heureusement plus joyeux. Ne plus avoir de vie sociale… ce qui est dramatique pour quelqu’un comme moi qui à vouer sa vie à « l’entertainment »!
Et après, tu rêves de…
Restaurants, bars, clubs, vacances, liberté, … mais surtout de partages !
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