Il n’est jamais trop tard pour commencer ! Il a même été démontré que les personnes commençant à faire du sport à 40 ans ou 50, voient leur risque de mort prématurée se réduire tout autant que les personnes ayant pratiqué un sport toute leur vie.
Grâce à une étude récente menée par la Cambridge University, on sait désormais le degré d’activité physique dont on a besoin pour rester en forme avec le temps qui passe.
Faire du sport à 40 ans, mais à quelle fréquence ?
L’étude, qui a suivi 15 000 Britanniques âgés entre 40 et 79 ans entre 1993 et 2016, a découvert que plus on avance en âge, plus il faut être actif. En d’autres termes : dans cette tranche d’âge, on peut difficilement faire « trop » de sport.
Voici les résultats détaillés de l’étude :
- Les personnes qui étaient inactives avant l’étude mais qui, petit à petit, se sont mises à faire 150 minutes d’activité physique modérée par semaine (20 minutes par jour, ou 30 minutes 5 fois par semaine) sont parvenues à réduire leur risque de décès de presque 25 % par rapport aux personnes adeptes ne bougeant pas.
- Mieux encore : les personnes qui faisaient déjà 300 minutes d’activité physique par semaine et qui sont passées à 450 minutes (passant d’une moyenne de 42 minutes par jour à une moyenne de 64 minutes) ont baissé leur risque de décès prématuré de pas moins de 42 %.
Certes, ces chiffres peuvent paraître très élevés mais le terme bouger englobe toutes sortes d’activités physiques : la marche, le vélo, la course à pieds, la danse… Pratiquer une heure par jour semble peut-être plus facile à réaliser. Et si vous avez toujours du mal à y arriver, n’oubliez pas que le simple fait de bouger pendant 30 petites minutes 5 fois par semaine suffit déjà à réduire votre risque de décès prématuré de 24 %.
Vous l’aurez compris, pratiquer un sport, surtout lorsqu’on avance en âge, est primordial. A l’Aspria, de nombreux cours de sports collectifs existent et ce, pour tous les âges. On y donne même des cours spécifiques pour les personnes plus âgées… A bon entendeur !
Plus d’infos sur www.aspria.com
Cet article a été réalisé en collaboration avec Aspria.