Quand l’homéopathie vient en aide aux symptômes de la ménopause

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Une étude pour mieux comprendre

Pour évaluer les connaissances, les plaintes et les traitements des femmes face à la ménopause, une enquête en ligne (1) a été réalisée sur un échantillon représentatif de 700 femmes âgées de 45 à 55 ans.
Selon les résultats de cette étude, les symptômes ressentis par les femmes pré-ménopausées ou ménopausées sont véritablement très nombreux et précoces. Ainsi, certaines « ressentent » ou « ont ressenti » les symptômes suivants :

  • 84 % des bouffées de chaleur ;
  • 81 % des coups de fatigue ;
  • 78 % des sueurs nocturnes ;
  • 78 % des troubles du sommeil.

En ce qui concerne les bouffées de chaleur plus spécifiquement, elles sont considérées comme étant « très dérangeantes » pour 67 % de femmes.

51 % des femmes estiment qu’il s’agit d’1 des 3 symptômes « les plus gênants » (suivi pour 33 % d’entre elles par les sueurs nocturnes et 23 % par les troubles du sommeil).

Le ressenti négatif des bouffées de chaleur augmente avec l’âge : 44 % chez les femmes de 45-48 ans, 49 % chez les femmes de 49-52 ans, 58 % chez les femmes de 53-55 ans.

4 femmes sur 5 (pré-)ménopausées entre 45 et 55 ans ressentent des bouffées de chaleur.

Soulager les bouffées de chaleur 

Selon cette même enquête, 29 % des femmes exposées à des bouffées de chaleur se traitent (17 %) ou se sont traitées (12 %) pour leurs bouffées de chaleur.

47 % d’entre elles déclarent ne connaître aucun traitement. Les traitements actuellement suivis ou qui ont été suivis sont les suivants : les THS pour 13 % des femmes, 12 % pour les traitements à base de soja, 12 % pour d’autres traitements phytothérapiques, 5 % pour les compléments alimentaires et 2 % pour les traitements homéopathiques. Les freins au traitement sont principalement le manque de notoriété de ces traitements (47 %), le coût et les réticences traditionnellement associées aux THS (cancer…).

A ce jour, il n’existe donc pas une réponse unique adaptée à toutes les femmes ménopausées. Chaque femme devrait pouvoir bénéficier d’un traitement personnalisé, qui tient compte de son état de santé, et de sa qualité de vie.

(1) Enquête Dedicated demandée par les laboratoires Boiron août-septembre 2014.


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