baiser de saingapour

Le baiser de Singapour, pour un plaisir intense et partagé

Faites l’amour pas la guerre. Un slogan né dans les années 60 et toujours bien actuel. Et pourquoi pas avec la position dite du baiser de Singapour ? Une pratique aux multiples bienfaits. Notamment pour la femme ménopausée.

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Si vous cherchez à vous renouveler quant aux pratiques amoureuses à adopter, le baiser de Singapour devrait répondre à vos attentes. Une position qui séduit d’emblée par sa dénomination exotique, promesse de nouveaux plaisirs venus d’ailleurs. Mais ses attraits sont bien plus nombreux. De quoi s’agit-il ?

Le baiser de Singapour en bref

Son histoire débute par une précision géographique. Le baiser de Singapour trouve son origine non pas à …Singapour, mais bien en Inde, voici plus de 3000 ans. Un « baiser » développé initialement par des Indiennes qui ont imaginé une position destinée à intensifier leurs ébats avec leurs partenaires. Un savoir sexuel resté dans les manuels sous le nom de kabazza. Et notamment adopté au Japon par les prostituées (à ne pas confondre avec les geishas) pour stimuler au maximum le plaisir de leurs clients. Un baiser de Singapour, appelé aussi technique du pompoir.

Et concrètement ?

Idéalement, la femme se place au-dessus de son partenaire, dans une position de chevauchement. Elle doit s’imaginer en train d’aspirer vers l’intérieur de son corps les lèvres de sa vulve. Et pourquoi ce terme de baiser ? Tout simplement parce que la position, lors de la pénétration, permet à la vulve de stimuler le pénis du partenaire, comme un baiser déposé. Pour l’homme, l’impression est semblable à celle ressentie lors d’une fellation. Mais plus intense.
Cette technique d’aspiration amène aussi le sexe masculin bien plus profondément, pour le plaisir des deux partenaires. C’est la femme qui choisit la cadence et qui serre et desserre le sexe masculin. De quoi rythmer selon ses envies le moment de jouissance. Pour le plaisir des deux partenaires. Une position plutôt complexe, qui réclame de la pratique pour être bien réalisée et pleinement efficace. Plus facile à adopter par les femmes qui réalisent déjà les exercices de Kegel.

De l’importance du muscle pubo-coccygien

Un baiser de Singapour articulé autour du muscle pubo-coccygien. Celui qui entre en action si vous essayez d’arrêter brutalement d’uriner. Un muscle qu’il est important de stimuler, de muscler pour une bonne santé du périnée. Par l’usage quotidien des fameuses boules de geisha et/ou des exercices de Kegel. Un plancher pelvien stimulé, tel est le préalable nécessaire au plaisir rencontré avec le baiser de Singapour. Un muscle en bonne santé réduit également les risques d’incontinence et améliore l’endurance sexuelle. Un muscle pubo-coccygien qui perd de son tonus avec l’âge.

Une position aux multiples bienfaits

Le baiser de Singapour permet d’atteindre un plaisir partagé par la femme, comme par l’homme. Contrairement à bien d’autres positions, qui avantagent souvent l’un ou l’autre des partenaires. Chacun y trouve son compte même si la femme domine les opérations. Cette position offre également un bienfait non négligeable pour la santé du système urinaire féminin. Elle permet en effet de renforcer la zone pelvienne. Et donc de réduire les risques d’incontinence urinaire, fréquente à la ménopause.


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